Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu de la place Victor-Hugo - Page 1108

  • Jérusalem, M. Obama et M. Netanyahou

    Jérusalem, M. Obama et M. Netanyahou

    Il est curieux de relever que ce sont des hommes politiques qui auront à dénouer une crise qui se noue autour d’une ville dont l’intérêt et les valeurs sont exclusivement d’ordre religieux. C’est là un paradoxe qui mérite d’être relevé.

    Un mot d’histoire, un mot qui n’a rien d’un plaidoyer. J’ai déjà eu l’occasion de dire que les seuls à pouvoir réclamer la restitution de la vieille cité du roi David sont les Jébuséent. Il faut dire que même la Bible n’est pas très claire au sujet de la ville sainte. Selon une source biblique, ce serait les tribus qui lors de la prise de la terre d’Israël auraient conquis la ville. Mais selon une autre source, ce serait le roi de David qui aurait réalisé cet exploit guerrier… Cela marque tout de même une différence d’au moins deux siècle. Et même pour l’Antiquité ce n’est pas rien.

    Lire la suite

  • Le résultat des élections régionales en France : le pays n’a pas basculé à gauche…

    Le résultat des élections régionales en France : le pays n’a pas basculé à gauche…

    Par delà toutes les lectures ou démarches ou même analyses partisanes, le pays n’a pas basculé à gauche. Que veut dire changer de majorité ? Cela signifie que l’on change de cap et de politique. Or, la gauche, qui vaut ce qu’elle vaut et qui a la légitimité de conduire la pays si les citoyens la choisissaient, se trompe visiblement d’élection et se croit parvenue au but.

    Lire la suite

  • LES LIMITES DE LA POLITIQUE AU PROCHE ORIENT DE M. OBAMA

    LES LIMITES DE LA POLITIQUE AU PROCHE ORIENT DE M. OBAMA
    Aujourd’hui, c’est un secret de polichinelle : tous les Américains ou presque se rendent compte de l’inexpérience de leur jeune président, élu pour apporter un peu d’oxygène après M. Bush si injustement décrié mais qui, on s’en rend compte aujourd’hui, savait ce que devait être la politique étrangère d’une hyper puissance.
    Il ne faut pas lire ce blog précipitamment ou penser que l’on cède à des préjugés solidement ancrés. Non point. Il suffit de voir comment l’Amérique de M. Obama perd tous ses acquis tant chez les Israéliens que chez les Arabes. Le nouveau président qui n’a jamais exercé la moindre fonction d’importance avant d’accéder à la magistrature suprême n’a visiblement pas pris la mesure de sa tâche, même après 20 ans d’exercice. Il a cru très naïvement qu’il se gagnerait la sympathie du camp arabo-musulman en disant tout et n’importe quoi (je m’excuse de le souligner) ; ils l’ont écouté avec politesse mais ils ont continué à penser comme ils pensaient précédemment. Question : un président US dont les décisions engagent la paix mondiale, a-t-il le droit de se tromper si souvent ?

    Lire la suite