LES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES EN IRAN…
J’ai un peu hésité avant de jeter mon dévolu sur le présent sujet : les élections iraniennes. Il y avait le retocage de la loi hadopi par le Conseil Constitutionnel en France. C’est tout de même important puisque cela porte sur l’outil qui permet d’entrer en contact, tous ensemble, chaque matin que D) fait… Puis, toujours en France, le procès de la triple infanticide qui vraiment me sidère et pour laquelle je prône une peine exemplaire, même si le sort des enfants qui réclament leur maman ne me laisse pas indifférent. Et il y a l’autre procès, tout aussi proche de nous puisqu’il se déroule à Genève et touche au meurtre du banquier Stern…
Mais c’est, comme toujours la politique internationale qui retient mon attention, car ce qui menace le plus, c’est le chauvinisme, le provincialisme, ce dernier pouvant menacer d’enfermement et de ghettoïsation, même le temple à savoir et de l’esprit, j’ai nommé l’université dont le nom couvre tout l’univers dont l’Iran fait partie.
Vu de la place Victor-Hugo - Page 1207
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LES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES EN IRAN…
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WINSTON CHURCHILL
WINSTON CHURCHILL DE FRANCIS KERSAUDY, PARIS, TALLANDIER, 2009
Qui peut prétendre bien connaître la vie et l’œuvre de Sir Winston Churchill, député à l’âge de 26 ans, lui-même fils de député, maintes fois ministre, Premier Ministre durant la guerre, grand amateur (sa vie durant) de bon whisky et de gros cigares, et pour finir, Prix Nobel de littérature (oui, de littérature) en 1953, une bonne dizaine d’années avant sa mort ? Autant de choses et bien d’autres encore que nous apprend la lecture de ce beau livre, superbe biographie, agréablement écrite et solidement documentée, quoique un peu longue par endroits…
Mauvais élève, scolarité médiocre, fils d’une mère insouciante et épouse volage (on doute même de la paternité de Lord Randoloph Churchill) tant Madame menait une vie mondaine… Le jeune garçon sera mis dans un internat réputé où il ne dut son passage en classe supérieure qu’au sens politique très affiné du révérend qui dirigeait l’établissement… -
L’APRÈS ÉLECTIONS EUROPÉENNES
L’APRÈS ÉLECTIONS EUROPÉENNES
Si les élections étaient destinées, à l’origine, à pacifier les changements politiques et à ménager les transitions d’un parti à l’autre, d’une majorité à l’autre, on peut dire que l’après élections s’accompagne parfois de véritables secousses telluriques. Il suffit de voir ce qui se passe au Modem et plus spécialement au PS pour s’en convaincre.
Mais, par delà quelques péripéties post-électorales, il y a un problème presque philosophique qui nous fait face : un être humain parvient-il à se dessaisir volontairement du pouvoir lorsqu’il s’est trompé et qu’il a fait perdre son parti ?
Non. Telle est la réponse quand on considère le choix et l’attitude de Martine Aubry et de François Bayrou : tous deux, en généraux battus (je m’excuse de la dureté du mot final) , biaisent, rusent avec l’entourage, remettent à plus tard ce qui devrait être fait aujourd’hui, retrouvent soudainement les vertus du collectif alors qu’ils se sont rendus coupables de l’exercice solitaire du pouvoir, bref privatisent le pouvoir et socialisent les pertes et les échecs, bref rien que de très humain… Mais de départ, de démission, il ne sera jamais question. Ce qui fait que ceux qui veulent faire place nette sont, en conséquence, obligés d’ourdir des putschs, des coups d’Etat pour sanctionner les coupables de la défaite…