L’OBJECTIF DU PRESIDENT OBAMA AU SEIN DU MONDE ARABO-MUSULMAN
Jusqu’à présent, les résultats du voyage du président américain au sein du monde musulman a donné de maigres résultats. Je le répète, le projet est bon mais les résultats attendus ne seront sûrement pas au rendez vous. Car le nouvel élu ne se pose pas la question la plus importante : que pense son électorat, que pense l’opinion publique américaine qui n’a pas oublié le 11 septembre ? Ce ne sont pas les adeptes de Shinto ni de Bouddha qui, un certain 11 septembre 2001, ont fondu sur les tours jumelles, provoquant la mort et la destruction de tant de personnes et de biens à New York, sans même parler du Pentagone et de l’attentat manqué contre la Maison Blanche.
Le pari de Barack Hussein Obama est, je le répète, animé de bonnes intentions mais il ne pourra pas tourner la page de l’après 11 septembre 2001. C’est la première fois qu’une telle attaque fond sur les USA dont les cieux n’ont jamais connu un seul appareil ennemi, excepté ce jour là.
Vu de la place Victor-Hugo - Page 1212
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L’OBJECTIF DU PRESIDENT OBAMA AU SEIN DU MONDE ARABO-MUSULMAN
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TIENANMEN : 20 ANS DÉJÀ !
TIENANMEN : 20 ANS DÉJÀ !
Il y eut le printemps de Prague, mais à Pékin le printemps n’aura jamais eu lieu. Qui se souvient, aujourd’hui, vingt après les faits, de ce massacre de pauvres étudiants désireux de vivre dans un monde libre, et si acquis à leurs idéaux qu’ils furent prêts à donner leur vie. Le PC chinois, l’un des plus durs de la planète n’attendait qu’une occasion pour mater une jeunesse qui n’avait décidément rien compris au matérialisme historique ni à la lutte des classes. Comment oser demander plus de liberté alors que le Parti, depuis plus de 40 ans, n’était là que pour ça ? Franchement, ces jeunes gens qui osaient défier le pouvoir en place, celui de la classe ouvrière, ne pouvait qu’être l’instrument servile d’une réaction criminelle ! Il fallait les traiter en tant que tels. -
LES ÉLECTIONS EUROPÉENNES, LA SUÈDE ET LA TURQUIE
LES ÉLECTIONS EUROPÉENNES, LA SUÈDE ET LA TURQUIE
Bien que l’empressement des Français et d’autres citoyens de pays voisins soit plutôt atone, en dépit des relances répétées des hommes politiques, la campagne des européennes s’enrichit d’éléments nouveaux, quoique de manière presque imperceptible.
De quoi s’agit-il au juste ? De la Turquie et de sa volonté d’adhésion. A présent, même les partis de gauche, voire d’extrême gauche (NPA, par exemple) sont contre l’ouverture de l’UE à la Turquie et, ce, pour de multiples raisons, dont les plus étonnantes sont le nivellement par le bas des acquis de la classe ouvrière (sic). Ces mêmes partis n’avaient jamais formulé de telles appréhensions lorsque des pays européens pauvres (Roumanie, Bulgarie etc…) avaient adhéré à l’UE. En fait, il semble bien que ce soit la composition socio-culturelle du pays en question qui asse problème.