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Vu de la place Victor-Hugo - Page 508

  • Comment écrire sur le carnage de Charlie-Hebdo?

    Comment écrire sur le carnage de Charlie Hebdo et de l’épicerie cacher du cours de Vincennes ?

    Les amis, les internautes habitués à me lire s’étonnent devant mon silence, suite aux attaques terroristes, opérées par des islamistes au cœur même de la capitale française ? En fait, je ne sais que dire tant l’énormité du crime me paralyse. Existe t il des mots pour rendre compte de la stupeur, de la sidération d’un texte abominable ? Dans cette terrible dévastation une seule chose me console : le réveil, la statut debout du peuple de France, le vrai, l’authentique, celui qui n’est pas de papier mais de cœur et de vie ; qui assume l’histoire de cette grande nation judéo-chrétienne, accueillante, universaliste, tolérante. Elle a rejeté loin d’elle un groupe d’énergumènes qui sont rien à voir avec elle. La marche majestueuse qu’elle a organisée en atteste. Comme par hasard, eu égard à l’absence de voyous et de casseurs, il ne s’est rein passé et chacun est rentré chez lui calmement alors que généralement la casseurs des banlieues assombrissaient la fin des manifestations. Mais cette marche était une marche, ce n’était pas une manifestation. Il y aura un avant et un après 11 janvier 2014. La meilleure preuve en est que les gens, enfin débarrassés d’éléments étrangers, chantaient la Marseillaise. Rendez vous combien on était tombé bas : nul n’osait plus chanter la Marseillaise. Ceux qui croyaient la France sans fils ni héritier se sont trompés. Heureusement.

  • Une folie meurtrière s'abat sur Paris

    Inimaginable, incroyable, impensable, inconcevable! Et on pourrait multiplier les épith!tes pour décrire notre réaction face à ce qui s'est passé ces deux derniers jours au cours desquels trois ou quatre terroristes ont paralysé tout un pays, tenu en haleine ses habitants et occupé tous les écrans de télévision, les stations de radios périphériques. Et cette sordide équipée s'est soldée par 17 morts. Au cœur même de la capitale française, des fous furieux ont frappés, armés d'armes modernes et redoutables, ils ont opéré sans la moindre gêne. C'est incroyable. Il y a tant d'aspects à envisager dans cette affaire que l'on y renonce sans peine. Tous les corps de métiers intellectuels (si je puis dire) sont mobilisés. Mais on ne sait toujours pas comment cela a été possible. Mais une chose émerge de tout cela: il va falloir revoir de fond en comble les procédures d'admission dans le société française et sur le territoire français/

  • Je suis Charlie, vive la République, vive la France

    JE SUIS CHARLIE : Vive la France, vive la République

    Que dire, que faire ? Que penser ? Les mots n’ont plus conservé cette puissance évocatrice qu’ils avaient avant ce crime odieux.

    Je disais tranquillement avec XM dans un bon restaurant et quand ous nous sommes quittés, en plein Paris, je ne me doutais pas de ce qui était en train de se passer à quelques kilomètres de là.

    C’est une voisine qui m’a appris ce qui s’était passé dans les XI-XIIe arrondissement. Cette réalité macabre dépasse tout. La France ne sera plus jamais comme avant. Il y aura un avant et un après. C’est plus qu’un tournant, c’est un séisme.

    Certes, les forces vives et saines de la nation ont bien réagi, même si le monde politique, lui, n’a pas tardé à retomber dans ses errements habituels. C’est la France qui a été visée à travers ses inoubliables humoristes auxquels la barbarie sans nom a fait payer le prix du sang.

    Ceux qui ont ces actes odieux ne peuvent se réclamer ni d’une cause juste ni d’une religion, quelle qu’elle soit. C’est impossible car toute divinité est une divinité d’amour et non de haine.

    Douze morts en quelques minutes ! Des vies saccagées, une ville, un pays plongés dans le désarroi le plus grand. Et le deuil. Je ne me souviens d’une telle tragédie dans ce pays, ni d’un tel deuil national de trois jours.

    Il faut réaffirmer les valeurs républicaines et ne plus faire preuve de faiblesse face aux ennemis de la culture et de la civilisation