La grande confusion autour de la Syrie
Si au moinscette avlse hésitation conduisait le tyran de Damas à s'amender et à respecter son peuple, alors, cette confusion serait bienvenue. Mais en réalité, même si les USA vont de toutes manières y aller, il aurait fallu éviter cet immense battage médiatique qui n'avait plus qu'ç ajouter la date et les lieux exacts de la réaction occidentale. Il ne fallait pas agir de la sorte.
Que va t il se passer désormais? Les USA vont agir. Est ce bien, est ce mal? Les deux options se défendent. Car si l'attaque intervient vraiment, les conséquences sont dures mais pas incalculables, ni la Syrie ni l'Iran ne sont en mesure de réagir fortement. Mais si rien ne se passe, alors BAchar se sentirait reagaillardi, les Occidentaux passeraient des impuissants et des incapables aux yeux des Orientaux et l'opposition syrienne, tant politique que militaire, serait désespérée.
Dans un cas comme dans l'autre, l'affaire a été mal engagée. Mais je ne vois pas le Pr Obama rester inerte, ce serait la fin de sa crédbilité à tout jamais. Or, il est encore à la tête des US pour trois longues années..
Et puisq eulel beptise: annoncer des frappes alors que les experts de l'ONU sont encore sur place!!
Quant au vote (non contraignant) du parlement britannique, il ne faut pas en surévaluer l'importance: sans agir visiblement, les Britanniques peuvent agir en coulisses, surveillant l'espace aérien syrien, espionnant les communications entre les unités militaires et assurant les arrièresde l'armée US. Et puis l'Amérique peut très bien agir seule
Ici, en Israël, la vie coule comme un long fleuve tranquille. Hier soir, les gens vaquaient à leurs occupations, faisant leurs emplettes pour lez chabbat. Mais le gouvernement a discrétement rappelé quelques milliers de réservistes afin de parer à toute éventualité.