Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu de la place Victor-Hugo - Page 746

  • Titre de la noteEst ce que la Syrie peut s’en sortir ?

    Est ce que la Syrie peut s’en sortir ?

     

    C’est la question que tout le monde se pose aujourd’hui. Personne ne s’intéresse plus au théâtre d’ombres dont l’acteur principal n’est autre que le vieux diplomate algérien qui vole d’un pays à l’autre, récoltant ici des promesses non tenues, et là des assurances qui ne valent pas grand chose.

     

    La réalité est que Bachar el Assad est en train de pratiquer la politique de la terre brûler , en arabe siyassat al ard al mahrouka. Jamais, pas une s eule fois, il n’a tenté de parler avec l’opposition ; pas une fois il n’a proposé de faire un cessez le feu. Rien. Il a répondu par un gigantesque déploiement de forces. Et j’ajoute que je suis surpris par la vigueur du régime et par sa reprise en main du pays. Plus de désertions, plus de défections.

     

    Et surtout, son armée est réapprovisionnée, elle passe à l’offensive, les troupes sont ravitaillées, se reposent et sont remplacées par des forces fraîches qui repartent au front. Donc, la révolte marque le pas. Ce n’est pas de sa faute car elle n’a pas l’armement nécessaire et mène néanmoins un combat héroïque : déjà plus de 30.000 morts.

     

    Que faire pour en finir et abréger les souffrances du peuple syrien ? Les Occidentaux doivent envoyer quelques officiers des forces spéciales encadrer les insurgés. Faute de quoi, on ne s’en sortira pas.

  • Discours du récipiendaire

     Discours du récipiendaire

     

    Messieurs les Ministres Bernard DEBRE Claude GOASGUEN et Claude GUEANT

    Monsieur Jacques-Pierre GOUGEON, conseiller spécial de Monsieur le Premier Ministre JMA

    Madame le professeur Blandine KRIEGEL et si vous le permettez chère Blandine,

     

     

    S. Excellence. Monseigneur Luigi VENTURA, Nonce apostolique

    S.E. Madame Susanne WASUM-RAINER, Ambassadeur d’Allemagne

    Monsieur le Grand Rabbin Josy EISENBERG

     

    Madame Céline BOULAY-ESPERONNIER, Conseiller de Paris et adjointe au Maire du XVIe arrondissement, Monsieur Claude GOASGUEN,

    Monsieur Charles MALINAS, Conseiller diplomatique auprès de Madame la Ministre de la culture

    M. Jean-Paul FAUGERE, Président de CNP-Assurances

    Monsieur Xavier MUSCA, Directeur Général délégué du Crédit Agricole

    Monsieur le Sous- Préfet Alain BOYER

    Madame Anny FORESTIER, Proviseur du lycée Janson de Sailly

     

    Monsieur Philippe OLIVIER, Conseiller pour la culture et pour l’enseignement supérieur auprès de M. le Sénateur-Maire de Strasbourg

     

     

    Monsieur le Directeur Général des éditions Univers poche, M. François Laurent

    Monsieur le Directeur Général des éditions Berg International, M. Georges NATAF

    Monsieur le Directeur Général des éditions Armand Colin, M. Jean-Christophe TAMISIER

     

    Mesdames, Messieurs,

    Chers Amis,

     

    Avant toute chose je veux exprimer ma profonde gratitude à Madame le Professeur Blandine KRIEGEL, professeur émérite des Universités, ancienne chargée de mission à la présidence de la République et ancienne présidente du Haut comté à l’intégration, qui a si généreusement accepté de remplacer le Président Jean KAHN, rendu indisponible à la suite d’un petit problème de santé.

    J’adresse donc à mon éminente collègue et Amie Blandine ma très vive gratitude

    Lire la suite

  • Faut-il intervenir au Mali ?

    Faut-il intervenir au Mali ?

     

    Oui, absolument, et sans hésiter. On ne recule pas devant le terrorisme car il ne connaît ni logique ni loi. Si vous négociez avec des terroristes, ils ne vous lâcheront jamais et découvrirons dans ce genre d’activité une pratique des plus lucratives.

     

    On ne peut pas laisser des bandes armées islamistes, de surcroît, s’emparer de larges portions de territoire au point d’en faire de nouveaux Afghanistans. On a souvent demandé aux populations pour quelles raisons elles suivent docilement les terroristes. Elles répondent toutes que les Occidentaux font des opérations ponctuelles et finissent par partir, facilitant le retour des extrémistes lesquels se vengent cruellement de la population, livrée à elle-même.

     

    Toutes proportions gardées, c’est ce que disent les paisibles habitants des banlieues et des cités ou des quartiers : la police vient et reste peu de temps, ensuite elle se replie, livrant ces territoires au bon vouloir des bandes.

     

    Il faut donc intervenir en mettant bien en garde les ravisseurs des Européens : s’ils s’en prennent à leurs otages, ils le paieront fort cher et aucune grâce ne leur sera jamais accordée.

     

    Mais cette situation est aussi un avertissement à ces états africains qui réclamèrent il y a des décennies  leur indépendance à cor et cri. Durant toutes ces années, ils ont dénoncé les méfaits du colonialisme et voici qu’aujourd’hui ils s’en remettent pour leur sécurité aux armes de la France et d’autres pays occidentaux réputés néo-colonialistes…

     

    Il y a ici aussi une leçon de l’Histoire