Ce serait un ballon d'oxygène qui sauverait la situation de l'arméee syrienne libre, en butte aux bombardements de l'zrméee de Bachar el Assad. La sitaution, en effet, risque de devenir critique pour les insurgs puisque l'armée du régime ne fiat plus dans le détail mais bombarde des quartiers entiers, sans distinction, qu'il y ait ou non des civils. Certains rapports secrets font état d'une grande lassitude des troupes syriennes, soumises à rude épreuve depuis près de 20 mois! Les divisions engagées ne sont pas suffisamment relayées et doivent rester au front durant de longues semaines. Bacahr a déjà dû dégarnir le front du Golan face à Israël et cela ne suffit plus. Là où les insurgés donnent l'impression d'avoir évacué telle ou telle zone, c'est pour réapparaître ailleurs. Les troupes combattantes sont démoralisées. On doute même de l'avenir du régime et des capacités de Bachar à tenir solidement le gouvernail. Et voici que Hilary Clinton évoque publiquement en Turquie l'instauration d'une zone d'exclusion aérienne. Si cela devait se faire, les violences ne devraient pas durer plus de quatre semaines: certains déserteurs, horrifiés par les massacres de leur peuple, rejoindraient aussitôt la Turquie avec armes et bagages, sans crainte d'être bomabrdés. Quant aux insurgés ils pourraient affronter plus directement l'armée du régime.
En tout état de cause, la partie est finie pour Bacahr.
L'un des dommages collatéruaux dans toute cette affaire, et on le souligne pas assez, c'est que la Turquie opère enfin un salutaire retour vers l'Occident et se désolidarise de ses deux vosins dangereux: la Syrie et l'Iran. Et ici, en Israël, on s'attend à des changements majeurs dans la région à partir de l'automne. Le Hezbollah est aussi très inuqiet pour son avenir car le Liban, sentant le vent tourner, se met à arrêter des suppôts de Damas. Et cela ne fait que commencer...