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  • LA CAMPAGNE DES PRÉSIDENTIELLES AMÉRICAINES.…

     

     

    LA CAMPAGNE DES PRÉSIDENTIELLES AMÉRICAINES.…
        C’est une vilaine rumeur qui circule avec une certaine insistance depuis peu de temps, depuis que la campagne s’est durcie entre les deux candidats. On dit que les stratèges démocrates qui ont compris que la crise financière actuelle desservirait leurs adversaires républicains ont soufflé à leurs représentants à la Chambre d’édulcorer en quelque sorte le plan Paulson en y insérant des garanties pour les épargnants et les déposants de toute sortes. Ceci aurait suscité l’inquiétude des marchés, retardant ainsi le retour de la confiance. Jusqu’aux résultats de l’élection présidentielle.
        Qui sait ? Ce qui est sûr, c’est que le candidat démocrate dont la minceur politique et économique est connue surfe depuis peu dans les sondages. Et la crise n’est pas pour rien dans toute cette affaire.
        Plus sérieusement, pour nous Européens, les choses ne semblent pas s’arranger. Que l’on pense à la col ère légitime de la chancelière fédérale qui décide, malgré de fortes réticences, de renflouer à coup de milliards, la banque hypo-real estate et… qui découvre que la note est nettement plus lourde que prévu… Même les banquiers, apparemment, ne savent pas ce qu’ils ont en magasin, ne connaissent pas l’étendue des pertes. Il convient donc de les traduire en justice car ils ont mis en péril l’économie mondiale. Et nous ne savons pas où ni quand cela va s’arrêter. Il est temps d’introduire un code de bonne conduite pour les banques et de l’assortir de sanctions pénales à l’encontre de contrevenants.
        Tous les citoyens, quels qu’ils soient, sont liés par une déontologie professionnelle, pourquoi pas les banquiers. Le Premier Ministre luxembourgeois, grand financier devant l’Eternel, sait de quoi il parle lorsqu’il dit ( en substance) que  l’estime qu’il voue aux banquiers est proche d’une valeur égale à zéro.
     

  • IL Y A TRENTE CINQ ANS LA GUERRE DE KIPPOUR

     

     

    IL Y A TRENTE CINQ ANS LA GUERRE DE KIPPOUR
        Une autre époque, une autre mentalité, oui, un autre monde Quelle chemin parcouru : depuis trente-cinq ans, le 6 octobre 1973, date fatidique choisie par les ennemis implacables d’Israël pour lancer leur attaque contre ce petit pays, le jour le plus sacré de l’année liturgique juive : le jour des propitiations, le jour du pardon et de la rémission des péchés de tous les hommes.
        Ce jour là, alors que le monde juif dans son ensemble était en prières, Syriens et Egyptiens lancent une offensive qui se voulait foudroyante et qui après quelque succès initiaux se transforma en débâcle cuisante pour eux puisque Tsahal parvint non seulement à les repousser mais à envahir leurs territoires respectifs, à parvenir jusqu’au kilomètre 101 du Caire, à tenir à sa merci et à encercler entièrement la IIIe armée égyptienne (laquelle n’avait plus d’eau douce) et à écraser l’armée syrienne qui reflua vers Damas en catastrophe.
        Certes, ce fut la première fois que des armées arabes tenaient aussi longtemps contre Israël. Mais cela leur coûta très cher en hommes, en matériel et en image. Car chacun se souvient des chars israéliens au km 101 et ces soldats égyptiens autorisés à charger des jerry can d’eau douce sur des chars amphibies désarmés.
        Il faut surtout se souvenir des victimes et se promettre d’éviter à l’avenir une nouvelle guerre, même si, hélas, le terrorisme des Palestiniens et un certain nombre de provocations ne présagent rien de bon.
        Malgré tout, il convient d’espérer et de persévérer : quand on voit ces négociations qui n’aboutissent pas, ce jeune caporal Gil’ad Schalit reclus dans une geôle souterraine depuis plus de deux ans, on ne peut qu’espérer et prier. Un jour, peut-être, les prières de paix des uns et des autres seront exaucées.
     

  • POUR COU CONTRE LES ÉOLIENNES ?

     

    POUR COU CONTRE LES ÉOLIENNES ?
        Quelle ne fut ma surprise ce dimanche après-midi à de voir à la télévision le président Giscard d’Estaing présenter un argumentaire virulent contre la multiplication d’éoliennes en France ? selon l’ancien président et d’autres adversaires de ce moulin à vent générateur d’électricité, la France qui accueille pratiquement le plus de touristes au monde, risque de dissuader ceux qui ne veulent que les paysages de l’Hexagone soient déformés par de tels engins.
        Au fil de l’émission (rappelons que l’adjectif éolien vient EOL, le dieu du vent selon la mythologie grecque), les adversaires de cette source d’énergie renouvelable ont fait valoir (peut-être avec raison) que le bruit des hélices pouvait nuire à la quiétude, au silence et générer en plus de l’électricité, un stress non négligeable.
        On estime aujourd’hui à 1% le produit des éoliennes en matière de besoins d’électricité. Si les choses se déroulent comme prévu, on devrait en accroître le nombre dans les dix prochaines années. Mais là encore les adversaires font valoir que ‘implantation et la mise en service d’éoliennes mine les fondations des fermes agricoles voisines…
        Alors, qui croire ? Les spécialistes ? On les conteste. Les partisans, on les taxe de naïveté. Attendons pour voir.