JOHANN WOLFGANG GŒTHE : JE PREFERE L’INJUSTICE AU DESORDRE
Si vous regardiez comme moi, ce matin, toutes les chaînes de télévision donnant des informations sur la situation socio-économique de la France, vous verriez qu’il n’est question que d’une chose : les séquestrations de cadres par des salariés d’entreprises qui mettent la clé sous la porte. On ne parle que de cela, ces nouvelles rapportant des cas de séquestrations se multiplient et inquiètent. Récemment, à Genève, un journaliste ami, s’étonnait que je fasse état dans ce blog de simple faits divers. A cette allure, ce ne sont plus des faits divers, mais de fais de société.
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La disparition du professeur Henri MESCHONNIC (1932-2009)
La disparition du professeur Henri MESCHONNIC (1932-2009)
Henri Meschonnic nous a quittés en ce début de mois d’Avril, victime d’une leucémie. Né à Paris, il était devenu un éminent chercheur, philosophe, linguiste et traducteur. il s’est beaucoup intéressé à la poésie
Vers la fin de sa vie et de sa carrière, il avait traduit d’importants livres de la Bible hébraïque. On pense surtout aux Psaumes et au Cantique des Cantiques.
Si k’en parle, c’est surtout par piété historique. En 1986 ou 87 il avait fait partie de mon jury de thèse de thèse de doctorat d’Etat à l’université de Paris VIII. Il se révéla être un lecteur attentif, un rapporteur indulgent et un spécialiste curieux de tout. Nous devons rendre hommage à sa personnalité et à son œuvre.
Le journal Le Monde lui a consacré une pleine page et je renvoie les lecteurs internautes à ce texte.
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LA COMMEMORATION DU YOM H-SHOAH ET LE CONFERENCE SUR LE RACISME A GENEVE. Où’est devenu l’héritage d’Al-Farabi (Afghasitan) et d’Avicenne (Iran) ?
LA COMMEMORATION DU YOM H-SHOAH ET LE CONFERENCE SUR LE RACISME A GENEVE.
Où’est devenu l’héritage d’Al-Farabi (Afghasitan) et d’Avicenne (Iran) ?
Il faut savoir raison garder et ne pas céder aux provocations, même les plus grosses, les plus inqualifiables, comme celle qui s’est déroulée hier après-midi à Genève où je me trouvais pour mes cours hebdomadaires. La journée était belle, je me suis assis, après le déjeuner, sur un banc, derrière la palce des canons,, surplombant la place ces Bastions…
Les hasards du calendrier ne doivent pas nourrir notre émotivité. C’est vrai que c’est triste, que cela nous chagrine, mais il faut savoir passer outre. Cela m’a fait tant de peine de prendre connaissance des déclarations de l’Iranien, une fois rentré à Paris, tard dans la nuit.
Je pense que la commémoration digne et recueillie de la Shoah en Israël, mérite mieux que les clameurs et les déclarations irresponsables que quelques uns se permettent de faire pour attirer l’attention des medias internationaux.